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À l’approche des Jeux, près de 80 % des dirigeants d’entreprise prévoient de renforcer leur dispositif de cybersécurité

QBE, l’un des leaders mondiaux de l’assurance et de la réassurance, a interrogé les PME et ETI françaises pour connaître leurs principales préoccupations en termes de cybersécurité. À l’approche de l’été, les dirigeants de PME et ETI se préparent pour 2 mois estivaux qui s’annoncent sportifs au niveau des cyberattaques.

Les chiffres à retenir :

  • 20 % des dirigeants de PME et ETI françaises se sentent inquiets en termes de cybersécurité pour leur entreprise à l’approche des Jeux.
  • 79 % d’entre eux prévoient de renforcer le dispositif cybersécurité de leur entreprise en 2024.
  • 27 % d’entre eux considèrent le bouclier cyber européen comme inutile ou n’en ont pas entendu parler.

 

Jeux : près de la moitié des entreprises renforçant leur cybersécurité craignent une recrudescence des attaques

 

La dernière étude QBE x OpinionWay1 met en lumière que 80 % des dirigeants de PME et ETI se montrent plutôt sereins quant aux mesures mises en place pour la cybersécurité de leur entreprise. Peu surprenant, quand on sait que le niveau de confiance des dirigeants se maintient : 4 sur 5 s’estiment capables de gérer une cyberattaque².

Cependant, qu’elles abordent avec sérénité ou non la période des JO, les entreprises prévoient de consolider leur cybersécurité en 2024. En cause, une peur de la hausse des cyberattaques pendant la période des Jeux (46 %), un dispositif obsolète (33 %), ou encore une volonté de rester à la pointe en termes de cybersécurité (33 %). Parmi les dirigeants prévoyant de renforcer leur dispositif de cybersécurité, 10 % ne détenaient pas de dispositif jusqu’à présent.

 

Près d’un tiers des dirigeants n’accueillent pas favorablement le bouclier cyber

 

Pourtant, malgré l’importance que semble revêtir la cybersécurité, les dirigeants de PME et ETI françaises sont 14% à trouver que le bouclier cyber européen est inutile. Plus édifiant encore : ils sont 13 % à ne pas en avoir entendu parler du tout, principalement dans le secteur agricole et industrie (31 %) mais aussi parmi les grandes ETI (entreprises de 500 à 4 999 salariés), à 29 %.

Ainsi, même si la majorité des entreprises sont informées et favorables vis-à-vis du bouclier cyber européen, le sujet de la cybersécurité reste un sujet qu’une grande partie des dirigeants ne considèrent pas comme un risque prégnant. En effet, seule 1 entreprise sur 2 appréhende ce risque d’envergure, et seuls 23 % des dirigeants déclarent souscrire une assurance cyber².

 

1 Étude QBE x OpinionWay réalisée en ligne du 23 mai au 5 juin 2024 auprès d’un échantillon de 301 dirigeants, DAF, responsables en gestion de risques, d’entreprises privées de 50 à 4999 salariés.

 

2 Étude QBE x OpinionWay réalisée par téléphone du 15 septembre au 3 octobre 2023 auprès d’un échantillon de 301 dirigeants, DAF, responsables en gestion de risques, d’entreprises privées de 50 à 4999 salariés.