1. Les liquidités sont la priorité – jusqu’ici, rien de nouveau. Une entreprise peut survivre sans générer de profits pendant une période prolongée, mais elle devra immédiatement mettre la clé sous la porte si elle se retrouve à court de liquidités.
2. Maintenez vos coûts fixes aussi bas que possible - il existe deux types de coûts : les coûts variables qui varient en fonction de l’activité, et les coûts fixes qui sont indépendants du volume des ventes. Plus vos coûts fixes sont faibles, mieux vous pouvez vous adapter aux conditions de marché.
3. Restez agile – plus vos activités commerciales sont agiles, plus vous pourrez vous adapter rapidement et facilement à l’évolution du marché.
1. Les liquidités sont la priorité – jusqu’ici, rien de nouveau. Une entreprise peut survivre sans générer de profits pendant une période prolongée, mais elle devra immédiatement mettre la clé sous la porte si elle se retrouve à court de liquidités.
2. Maintenez vos coûts fixes aussi bas que possible - il existe deux types de coûts : les coûts variables qui varient en fonction de l’activité, et les coûts fixes qui sont indépendants du volume des ventes. Plus vos coûts fixes sont faibles, mieux vous pouvez vous adapter aux conditions de marché.
3. Restez agile – plus vos activités commerciales sont agiles, plus vous pourrez vous adapter rapidement et facilement à l’évolution du marché.
C’est l’un des outils les plus utiles dont dispose une entreprise pour gérer sa situation financière. Le tout est d’estimer combien d’argent rentre et sort de votre entreprise et à quel moment. Connaître le timing est primordial pour savoir à quel moment vos liquidités sont susceptibles de diminuer au cours du trimestre et prendre des mesures avant que cela ne devienne un problème.
Les mesures à prendre dépendent de la nature de votre activité, mais les prévisions à 13 semaines peuvent se révéler très pratiques pour différents départements de votre entreprise.
C’est l’un des outils les plus utiles dont dispose une entreprise pour gérer sa situation financière. Le tout est d’estimer combien d’argent rentre et sort de votre entreprise et à quel moment. Connaître le timing est primordial pour savoir à quel moment vos liquidités sont susceptibles de diminuer au cours du trimestre et prendre des mesures avant que cela ne devienne un problème.
Les mesures à prendre dépendent de la nature de votre activité, mais les prévisions à 13 semaines peuvent se révéler très pratiques pour différents départements de votre entreprise.
N’attendez pas le dernier moment pour échanger avec votre banque ou autres créanciers en cas de besoin. Vous avez plus de chance d’obtenir le soutien nécessaire si vous engagez ouvertement le dialogue, et ce dès que possible. Si vous vous y prenez trop tard, et que vous attendez de ne plus pouvoir respecter vos engagements, payer les intérêts ou le capital, vos options risquent d’être plus limitées.
Obtenir les paiements plus rapidement et reporter les versements sont les moyens les plus directs pour redresser votre trésorerie. Les clients et fournisseurs de nombreuses entreprises n’offrent pas ces possibilités (encore moins lorsque l’environnement de marché les met en difficulté également), mais il existe des solutions de financement conçues pour cela. L’affacturage des comptes clients constitue depuis longtemps un moyen rentable d’accélérer les règlements, et certains établissements offrent également des produits de financement pour les comptes fournisseurs. En règle générale, ces établissements payent les factures dès réception (tirant parti des remises accordées en cas de paiement anticipé) et prélèvent le règlement définitif auprès du débiteur après une période prolongée (p. ex., 180 jours).
Avec la pandémie, de nombreux gouvernements ont offert et continuent d’offrir des aides pour soutenir les entreprises face à la crise. Ces programmes comprennent des subventions salariales (p. ex. congé sans solde), le report de paiement des taxes (p. ex., TVA) et des prêts garantis. Chaque petite contribution est utile lorsque vous essayez de garder la tête hors de l’eau.
[1] La quantité économique de commande (QEC) désigne la quantité idéale de commandes qu’une entreprise doit passer pour minimiser le coût total du stock, en équilibrant le coût de stockage et le coût fixe moyen de la passation de commandes.
Le modèle de quantité économique de production (QEP) détermine la quantité qu’une entreprise doit produire pour minimiser ses coûts de production, le taux de demande et d’autres coûts.
N’attendez pas le dernier moment pour échanger avec votre banque ou autres créanciers en cas de besoin. Vous avez plus de chance d’obtenir le soutien nécessaire si vous engagez ouvertement le dialogue, et ce dès que possible. Si vous vous y prenez trop tard, et que vous attendez de ne plus pouvoir respecter vos engagements, payer les intérêts ou le capital, vos options risquent d’être plus limitées.
Obtenir les paiements plus rapidement et reporter les versements sont les moyens les plus directs pour redresser votre trésorerie. Les clients et fournisseurs de nombreuses entreprises n’offrent pas ces possibilités (encore moins lorsque l’environnement de marché les met en difficulté également), mais il existe des solutions de financement conçues pour cela. L’affacturage des comptes clients constitue depuis longtemps un moyen rentable d’accélérer les règlements, et certains établissements offrent également des produits de financement pour les comptes fournisseurs. En règle générale, ces établissements payent les factures dès réception (tirant parti des remises accordées en cas de paiement anticipé) et prélèvent le règlement définitif auprès du débiteur après une période prolongée (p. ex., 180 jours).
Avec la pandémie, de nombreux gouvernements ont offert et continuent d’offrir des aides pour soutenir les entreprises face à la crise. Ces programmes comprennent des subventions salariales (p. ex. congé sans solde), le report de paiement des taxes (p. ex., TVA) et des prêts garantis. Chaque petite contribution est utile lorsque vous essayez de garder la tête hors de l’eau.
[1] La quantité économique de commande (QEC) désigne la quantité idéale de commandes qu’une entreprise doit passer pour minimiser le coût total du stock, en équilibrant le coût de stockage et le coût fixe moyen de la passation de commandes.
Le modèle de quantité économique de production (QEP) détermine la quantité qu’une entreprise doit produire pour minimiser ses coûts de production, le taux de demande et d’autres coûts.
De nombreuses entreprises, y compris dans les secteurs les plus affectés par la COVID-19, ont trouvé des solutions inédites pour maintenir les rentrées d’argent, comme un restaurant étoilé qui décide de livrer à domicile des kits permettant de préparer soi-même ses spécialités, une entreprise événementielle qui recrée son expérience d’accueil lors d’événements virtuels ou encore un grossiste qui propose des livraisons à domicile. Ils ont tous un facteur commun : une pensée latérale, avec suffisamment de flexibilité pour la mettre en pratique. Prenez le temps de réfléchir à ce que vous pourriez faire autrement ; cela pourrait s’avérer plus facile que vous ne le pensez.
Lorsque la première vague de COVID-19 a touché l’Europe, de nombreuses entreprises ont été prises de court et se sont empressées de mettre en œuvre des pratiques qu’elles avaient jusqu’ici mises de côté. Avant la pandémie, la plupart des entreprises n’auraient pas imaginé que l’ensemble de leur main-d’œuvre pourrait travailler efficacement à distance pendant plusieurs mois. Les projets de développement supervisés par des comités peu flexibles et sans notion d’urgence voyaient rarement le jour. La mise en œuvre d’opportunités commerciales nécessitant de faire évoluer les capacités et de changer d’approche était parfois planifiée sur plusieurs années. La pandémie a accéléré le lancement de nombreuses initiatives.
Comme le dit le proverbe, « la nécessité est mère de l’invention », et de nombreuses entreprises tireront des bénéfices à long terme de cette période difficile.
De nombreuses entreprises, y compris dans les secteurs les plus affectés par la COVID-19, ont trouvé des solutions inédites pour maintenir les rentrées d’argent, comme un restaurant étoilé qui décide de livrer à domicile des kits permettant de préparer soi-même ses spécialités, une entreprise événementielle qui recrée son expérience d’accueil lors d’événements virtuels ou encore un grossiste qui propose des livraisons à domicile. Ils ont tous un facteur commun : une pensée latérale, avec suffisamment de flexibilité pour la mettre en pratique. Prenez le temps de réfléchir à ce que vous pourriez faire autrement ; cela pourrait s’avérer plus facile que vous ne le pensez.
Lorsque la première vague de COVID-19 a touché l’Europe, de nombreuses entreprises ont été prises de court et se sont empressées de mettre en œuvre des pratiques qu’elles avaient jusqu’ici mises de côté. Avant la pandémie, la plupart des entreprises n’auraient pas imaginé que l’ensemble de leur main-d’œuvre pourrait travailler efficacement à distance pendant plusieurs mois. Les projets de développement supervisés par des comités peu flexibles et sans notion d’urgence voyaient rarement le jour. La mise en œuvre d’opportunités commerciales nécessitant de faire évoluer les capacités et de changer d’approche était parfois planifiée sur plusieurs années. La pandémie a accéléré le lancement de nombreuses initiatives.
Comme le dit le proverbe, « la nécessité est mère de l’invention », et de nombreuses entreprises tireront des bénéfices à long terme de cette période difficile.
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