QBE, l’un des leaders mondiaux de l’assurance et de la réassurance, annonce l’évolution de sa politique de congés familiaux en France. À compter du 1er juillet 2025, tous les collaborateurs devenant parents – qu’ils soient mères, pères, co-parents ou parents adoptants – bénéficieront de 20 semaines de congé entièrement rémunérées. Cette égalisation, déployée simultanément en Belgique, au Canada et en Suède*, marque une étape majeure dans l’engagement du groupe pour l’égalité et l’inclusion.
En France, alors que le congé du second parent était jusqu'à présent limité à la durée légale (soit environ 5 semaines), cette évolution signifie un passage à 20 semaines de congé paternité, assurant ainsi une durée identique pour tous les parents, sans condition d’ancienneté au sein de QBE. La mesure s’applique également aux co-parents et aux familles adoptantes, quelles que soient leurs configurations ou leurs orientations.
« Ce changement marque une avancée concrète en faveur de l’égalité professionnelle et de l’inclusion. Il reflète notre volonté de proposer un environnement de travail équilibré, où chaque parent peut s’engager pleinement dans les premiers mois de la parentalité », déclare Delphine Leroy, Directrice Générale de QBE France.
Cette initiative s’inscrit dans une stratégie RH internationale amorcée en 2023 qui vise à accorder d’ici fin 2025, au moins 12 semaines de congés payés à l’ensemble des collaborateurs QBE qui accueillent un enfant. Ainsi au Royaume-Uni, QBE a déjà mis en place 26 semaines de congés payés pour tous les parents. Depuis janvier 2025, l’Italie, l’Allemagne et les Pays-Bas ont adopté cette politique paritaire.
Avec plus de 13 000 collaborateurs à travers 26 pays dans le monde, QBE affirme sa volonté d’être un employeur de référence dans le secteur de l’assurance. En favorisant une meilleure répartition des responsabilités familiales et un équilibre durable entre vie professionnelle et personnelle, le groupe renforce sa capacité à attirer et fidéliser les talents.
* Le nombre de semaines payées varie d’un pays à l’autre selon la législation locale.