Un signal positif qui montre que ces sociétés sont conscientes des conséquences qui peuvent peser sur leur business si elles n’appliquent pas une politique volontariste de risk management.
Elles placent ainsi la gestion des risques en deuxième position, derrière la stratégie commerciale, dans le classement
des éléments qui conditionnent le plus leur compétitivité. Et la variété de risques identifiés est très large : humains, de marché, matériels, réglementaires, financiers, immatériels.
Un signal positif qui montre que ces sociétés sont conscientes des conséquences qui peuvent peser sur leur business si elles n’appliquent pas une politique volontariste de risk management.
Elles placent ainsi la gestion des risques en deuxième position, derrière la stratégie commerciale, dans le classement des éléments qui conditionnent le plus leur compétitivité. Et la variété de risques identifiés est très large : humains, de marché, matériels, réglementaires, financiers, immatériels.
De la même façon, les difficultés de recrutement sont également plus prégnantes pour ces entreprises de taille réduite. Les risques de marché accusent quant à eux une augmentation de 18 points par rapport à 2019, et soulignent les préoccupations de ces
entreprises vis-à-vis des performances de leur secteur et de la concurrence. Viennent ensuite les risques matériels (51 %), réglementaires (50 %), financiers (42 %). En plus de ces risques « traditionnels », d’autres ont été plus récemment identifiés, comme ceux liés à la cyber sécurité.
Le risque cyber est ainsi perçu comme étant en hausse par 1 entreprise sur 2, pour qui la menace plane surtout sur la sécurité des données. Également, le risque immatériel, lié à l’image de marque et à la réputation, fait aussi partie de ces nouveaux risques (40 %).
De la même façon, les difficultés de recrutement sont également plus prégnantes pour ces entreprises de taille réduite. Les risques de marché accusent quant à eux une augmentation de 18 points par rapport à 2019, et soulignent les préoccupations de ces entreprises vis-à-vis des performances de leur secteur et de la concurrence. Viennent ensuite les risques matériels (51 %), réglementaires (50 %), financiers (42 %). En plus de ces risques « traditionnels », d’autres ont été plus récemment identifiés, comme ceux liés à la cyber sécurité.
Le risque cyber est ainsi perçu comme étant en hausse par 1 entreprise sur 2, pour qui la menace plane surtout sur la sécurité des données. Également, le risque immatériel, lié à l’image de marque et à la réputation, fait aussi partie de ces nouveaux risques (40 %).
Preuve que les dirigeants sont plus matures et ont gagné en recul. Toutefois, la taille de ces entreprises et leur organisation expliquent les difficultés qu’elles rencontrent dans la gestion de ces risques. Le manque de moyens, la complexité à effectuer un suivi permanent des normes, et le manque de ressources humaines et financières limitées, expliquent qu’une majorité (74 %) des sondés ne maîtrise que partiellement cette dimension de leur activité.
De l’identification du risque à son traitement et à la mise en place de plans d’actions, l’intégralité du processus est jugé trop complexe (88 %).
Preuve que les dirigeants sont plus matures et ont gagné en recul. Toutefois, la taille de ces entreprises et leur organisation expliquent les difficultés qu’elles rencontrent dans la gestion de ces risques. Le manque de moyens, la complexité à effectuer un suivi permanent des normes, et le manque de ressources humaines et financières limitées, expliquent qu’une majorité (74 %) des sondés ne maîtrise que partiellement cette dimension de leur activité.
De l’identification du risque à son traitement et à la mise en place de plans d’actions, l’intégralité du processus est jugé trop complexe (88 %).
D’autant plus qu’elles collaborent étroitement avec les grands groupes pour qui elles représentent des sous-traitants et partenaires de choix, sélectionnés pour leur expertise et leur savoir-faire.
Pour ces PME et ETI, un risque, quelle que soit sa nature, peut rapidement entraîner des difficultés qui peuvent être irréparables : sous-effectifs, incapacité à répondre aux commandes et même faillite.
La clé pour se saisir de cet enjeu ?
Disposer des bonnes ressources. Dans cette perspective, la première étape consiste à désigner un Risk Manager expert, capable d’identifier et de prioriser les risques. Dans la plupart de ces entreprises, ce rôle est tenu par le Directeur Général.
Or, il est nécessaire que cette
fonction soit prise en charge par un profil plus expert en matière de risque (un Directeur Juridique ou un Directeur Administratif par exemple), ou en faisant appel à une compétence en externe.
D’autant plus qu’elles collaborent étroitement avec les grands groupes pour qui elles représentent des sous-traitants et partenaires de choix, sélectionnés pour leur expertise et leur savoir-faire.
Pour ces PME et ETI, un risque, quelle que soit sa nature, peut rapidement entraîner des difficultés qui peuvent être irréparables : sous-effectifs, incapacité à répondre aux commandes et même faillite.
La clé pour se saisir de cet enjeu ?
Disposer des bonnes ressources. Dans cette perspective, la première étape consiste à désigner un Risk Manager expert, capable d’identifier et de prioriser les risques. Dans la plupart de ces entreprises, ce rôle est tenu par le Directeur Général.
Or, il est nécessaire que cette fonction soit prise en charge par un profil plus expert en matière de risque (un Directeur Juridique ou un Directeur Administratif par exemple), ou en faisant appel à une compétence en externe.
Un résultat encourageant, et qui prouve la lucidité dont font preuve ces dirigeants. En effet, le conseil fait partie intégrante des sociétés d’assurance qui développent cet accompagnement en proposant des visites et des audits de leurs clients
pour prévenir les risques et proposer des plans de prévention adaptés. Un engagement historique dans lequel s’inscrit tout naturellement QBE qui, dans chacun de ses produits d’assurance, adjoint une offre de conseil.
Un résultat encourageant, et qui prouve la lucidité dont font preuve ces dirigeants. En effet, le conseil fait partie intégrante des sociétés d’assurance qui développent cet accompagnement en proposant des visites et des audits de leurs clients pour prévenir les risques et proposer des plans de prévention adaptés. Un engagement historique dans lequel s’inscrit tout naturellement QBE qui, dans chacun de ses produits d’assurance, adjoint une offre de conseil.
Ainsi, dans le cadre de son offre en cartographie des risques développée avec Arengi, les experts de ce cabinet indépendant de conseil s’entretiennent avec les différents managers pour évoquer
les risques auxquels ils sont confrontés.
Un moyen de les cartographier et de quantifier l’impact financier potentiel en étant au plus près des enjeux des
métiers, mais également de créer une émulation et un travail d’équipe au sein duquel la Direction des PME et ETI occupe un rôle central.
Cette mise en commun d’expertises et cette interdépendance permettent de mettre au point des matrices de risques adaptées à chaque entreprise et à ses enjeux. Et les retours sont très positifs : les sociétés qui se sont lancées dans ce type de démarche constatent que ce n’est pas si difficile à déployer.
Les PME et ETI se mettent en ordre de marche pour développer leur culture du risque et leur capacité de résilience.
Ainsi, dans le cadre de son offre en cartographie des risques développée avec Arengi, les experts de ce cabinet indépendant de conseil s’entretiennent avec les différents managers pour évoquer les risques auxquels ils sont confrontés.
Un moyen de les cartographier et de quantifier l’impact financier potentiel en étant au plus près des enjeux des métiers, mais également de créer une émulation et un travail d’équipe au sein duquel la Direction des PME et ETI occupe un rôle central.
Cette mise en commun d’expertises et cette interdépendance permettent de mettre au point des matrices de risques adaptées à chaque entreprise et à ses enjeux. Et les retours sont très positifs : les sociétés qui se sont lancées dans ce type de démarche constatent que ce n’est pas si difficile à déployer.
Les PME et ETI se mettent en ordre de marche pour développer leur culture du risque et leur capacité de résilience.
Ces acteurs du dynamisme économique français, bien identifiés par les grands groupes qui s’appuient sur leur agilité et leur capacité d’innovation, constituent un véritable moteur pour le pays, au même titre que le « Mittelstand » allemand, dont la France a tout intérêt à s’inspirer. Et les choses semblent être en bonne voie : en janvier 2020, le Président Macron
accueillait 500 d’entre elles à l’Elysée pour vanter leurs mérites et valoriser leur rôle dans l’économie française. Dans un tel contexte, la gestion des risques constitue l’un des principaux leviers de compétitivité grâce auquel les PME et ETI pourront continuer d’entreprendre sereinement et assurer leur pérennité et surtout leur développement.
Ces acteurs du dynamisme économique français, bien identifiés par les grands groupes qui s’appuient sur leur agilité et leur capacité d’innovation, constituent un véritable moteur pour le pays, au même titre que le « Mittelstand » allemand, dont la France a tout intérêt à s’inspirer. Et les choses semblent être en bonne voie : en janvier 2020, le Président Macron accueillait 500 d’entre elles à l’Elysée pour vanter leurs mérites et valoriser leur rôle dans l’économie française. Dans un tel contexte, la gestion des risques constitue l’un des principaux leviers de compétitivité grâce auquel les PME et ETI pourront continuer d’entreprendre sereinement et assurer leur pérennité et surtout leur développement.
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